Il est démontré que la technologie informatique permet de faciliter le travail administratif et réduit le temps pour produire un document ou un rapport.

Les automates sont utilisés pour réaliser des tâches répétitives de moindre valeur. Je pense par exemple aux rappels d’enregistrement de temps, le paramétrage des tâches d’un mandat répétitif, les fonctions de rétroaction pour corriger un travail et j’en passe.

Je connais de petites firmes comptables du Québec qui appliquent quotidiennement des automates et l’impact est positif à plusieurs niveaux. Le personnel apprécie ces fonctions automatisées de leurs logiciels. Ils peuvent livrer leurs projets sans faire de temps supplémentaire. Pour la direction, la planification des projets est facilitée par l’accès en temps réel à la disponibilité des employés. Il y a des dizaines d’exemples de ce genre.

En affaires depuis longtemps, j’ai vu des entreprises grandir grâce à l’ouverture de leurs dirigeants pour implanter des changements technologiques. J’ai vu d’autres dirigeants, par contre qui s’accrochent aux vieilles façons de faire. Ça les conforte. Mais en ne répondant pas aux attentes des plus jeunes diplômés ils ne peuvent embaucher les meilleurs candidats, ils se font déclasser et devront malheureusement fermer leurs portes.

Dans le contexte actuel de plein emploi, combiné au vieillissement de la population et l’importance accordée aux valeurs familiales des plus jeunes, l’utilisation accrue de la technologie est souvent la meilleure solution pour opérer avec moins de ressources.

Au début de ma carrière, seules les grandes entreprises pouvaient se payer des logiciels de gestion. Cette époque est révolue depuis plusieurs années. On peut voir ça comme un signe que c’est un outil indispensable pour survivre ou passer à un autre niveau.

Je vous invite à consulter ci-dessous l’article à ce sujet paru à la page 15 dans Le Devoir du 9 septembre.

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